Nous sommes donc à Izco, entre Sangüesa et Montreal. Nous y avons trouvé une "Albergue" sympa (ainsi que la Taulière). Partis de bonne heure de Sangüesa (6h 1/4) nous y sommes arrivés à 12h.´, après 21 km de chemin agréable , mais parfois abimé par les chevaux, les vaches et les tracteurs. Les chevilles ont été mises à mal. Nous avons donc décidé de passer tranquillememt láprès-midi à Izco, nous y dormirons tambien. Jeanne en parfaite "Mère Poule" nous a préparé un bon plat de spaghettis avec des boulettes de viandes que nous avons trouvé dans le "supermarché" de l'albergue.
Comme vous avez été privés de photos, en voici quelques-unes.
Au départ de Jaca, en partance pour Arrès.
Arrès est derrière nous, nous allons vers Ruesta.
Ruesta, village abandonné.
Ruesta est un fief de la CGT españole (Anarcho-syndicaliste). Quelques Tagueurs se sont exprimés sur les murs du pueblo. Un beau tag à consonnance "textile".
Nous voilà partis pour Sangüesa: Petite halte rafraîchissante à la source du village, 300 mètres en contrebas.
Les gourdes sont pleines, Vamos ¡
Ruesta est derrière nous, le camino est confortable.
à Undues de Lerda, nous retrouvons tous nos copains américains, brésiliens, allemands et hollandais. Jeanne est devenue, sans s'en rendre compte, polyglotte.
nous continuons ensuite vers Sangüesa, le village précédent est déjà loin derrière nous.
Sangüesa , un village introuvable. Qu'il est long le chemin, "sur l'air de la "transhumance"
à Sangüesa, vue de la pension : une grue sur laquelle nichent deux couples de Cigognes.
Départ matinal, vue du pueblo de Roquaforte et des premières 400 éoliennes.
Sur le plateau del Alto de Albar.
Pour la pause casse-croûte, nous tombons sur un Allemand et une Australienne qui ont passé la nuit devant cette fontaine.
Izco, notre but pour la journée est au pied de du pic, à l'horizon.
Une petite épreuve de saut, pour corser la pérégrinacion
Si vous nous reconnaissez, voici les plus beaux mollets des Caminandos.