Notre arrivée à Fès n'est pas à mettre dans notre boîte à souvenirs. D'entrée, nous sommes assaillis par un rabatteur qui veut nous imposer un guide pour visiter la ville. Malgré notre refus, il va nous suivre sur sa mobylette tout au long de l'avenue My Abdallah tentant de nous amener vers son siège social. Jojo essaie, grâce à Tomtom de ne pas le suivre, mais nous le retrouverons devant nous. Une explication musclée s'ouvre alors et les insultes fusent à notre encontre. C'est la première fois que ce type de situation nous arrive. Nous ne nous arrêterons donc pas à Fès et continuerons notre route Vers Martil.
À l'entrée de Fès un palmier géant nous attend, il cache une antenne téléphonique.
Passage du Marathon de Fès. Nous laissons courir !
Jojo entonne alors quelques chansons de circonstance.
Les paysages du Rif sont différents de tous ceux qui ont été traversés jusqu'à présent.
La vie semble y être moins rude que dans les palmeraies de l'Atlas.
Les bâches plastiques commencent à remplacer les constructions de terre traditionnelles.
En cette saison, le bétail se débrouille comme il peut.
Arrêt forcé au "Pont de Sébou".
Pour patienter, Jojo entame une autre chanson de circonstance.
Vite, vite, un client se pointe sur l'autre berge.
La route commence à se dégrader !
de plus en plus !
Le Rif est une région administrative délaissée historiquement de la vie politique marocaine. L'état des routes en est-il une conséquence ?
Cela n'empêche pas la Police de faire son travail.
Le contrôle est passé malgré les risques de crevaison !
Dans la région de Chefchaouen on exploite le chêne liège, mais aussi le cannabis.
Arrivée à Martil. Les véhicules sont rangés sur le parking gardé de l'hôtel ADDIAFA.
Jojo entame une dernière chanson de circonstance.